BERNARD AUTIER
Gironde : armes de la Guyenne et léopard d'Aquitaine
Que s'est-il passé le 27 Messidor an VI à Bordeaux ?
A Paris, a eu lieu le coup d'état du 22 Floréal an VI, mais à Bordeaux juste ma naissance.
Mon père François Autié, bouvier, est absent, c'est donc la citoyenne Marie Barailley sage femme, qui me porte devant l'officier d'état civil, elle est accompagnée de Bernard Chabanneau mon oncle maternel, Joseph Bourdalot et son épouse Marguerite Boifret voisins et amis de mes parents.
Je suis nourrit par ma mère ...
AD BordeauxMes parents, François Autié (mon nom deviendra Autier à la naissance de ma fille Marie Adélaïde en 1819) et Jeanne Chabonneau, habitent 11 rue Chantecrit, tout prêt de la Garonne et du port de Bordeaux.
j'apprends le métier de tonnelier, métier indispensable à Bordeaux .
A lire: https://chronique-familiale.blogspot.com/2014/03/geneatheme-un-metier-les-tonneliers.html
A 19 ans je suis déjà marié !!
acte de mariage du 1er Juillet 1818 à Guitres.
Mon épouse se nomme Jeanne Bréau, native de Guitres et nous nous installons à Cardon-Blanc, ville située au nord de Bordeaux de l'autre côté de la Garonne.
A lire : lhttps://chronique-familiale.blogspot.com/2017/04/mon-sejour-en-gironde-second-episode.html
Nous aurons trois filles : Marie Adélaïde en 1819, Marie Dorothée en 1821 et Marguerite Victoire en 1826.
Marguerite se mariera avec Jean Etienne Raymond, verrier.
Ils seront les parents des deux arrières-grand-mères maternelles de mon Cujus Martine.
Les tonneliers chantent en travaillant...
sources : AD Bordeaux, documents personnels
Je suis avec intérêt, normal je suis girondine...
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